PRESSE










Presse / Articles / Mises en scène :


''Le problème avec la presse c'est qu'elle est souvent pressée'' (Jean Luc Godard)



''Jr (Me, Myself and I)'' / Théâtre de La Minoterie (Mai 2011)
« Décadent et cynique, politiquement incorrect et jubilatoire, le dernier spectacle d'Olivier Maltinti nous offre les dernières heures d'un capitaliste. Autour d'une simple question - A qui léguer toute sa fortune pour emmerder le maximum de gens ? - Junior dévoile toutes les turpitudes de sa vie très - Sex, drugs and rock'n'roll -, dans une mise en scène qui marie intelligemment théâtre et musique. L'excès et les outrances tout comme la déchéance et la rédemption font de cet anti-héros un personnage attachant qu'on adore détester. »
(Rédaction Ventilo / Top 4 dans Top 20 / Bilan sur les planches 2011)



''Jr (Me, Myself and I) / Théâtre des Bernardines (Décembre 2011).
« L'agonie et la finance. ''Avant de mourir, que faire de tous mes dollars pour emmerder le maximum de monde ?''. Dans sa dernière création, Olivier Maltinti livre un récit brut de décoffrage ; celui d'un milliardaire à l'agonie qui se retrouve face à ses fantômes, aux intrigues de ses contemporains et à la crise financière. Un tableau ironique et cruel, où plane l'ombre de Thomas Bernhard, l'immense écrivain autrichien. »
( Mickaël Penverne / 20 Minutes)



''Sonetto Per Ninetto'' / Théâtre des Bernardines (Novembre 2008).
« Davoli, la belle folie. Au Théâtre des Bernardines, Olivier Maltinti lors d’un étrange «concert théâtral» riche et dense, intransigeant mais jamais élitiste évoque avec sensibilité et générosité le complice de Pasolini. Il l’aime, Ninetto Davoli, peut être autant qu’il aime Pasolini. Peut être même autant que Pasolini aimait Davoli. Un amour contagieux, puisque Olivier Maltinti l’a visiblement transmis aux trois (excellents) musiciens et à la (superbe) comédienne qu’il a entraînés dans le Sonetto per Ninetto présenté jusqu’à demain aux Bernardines. Un amour qu’ils transmettent à leur tour au spectateur, au fil d’un drôle d’opéra rock en 12 séquences. Ce Sonetto est d’une cohérence rare, témoignage d’une vie «tronçonnée», riche et dense, faite d’amours et de déchirures, d’exaltations et de renoncements. L’œuvre comme chez Delbono ou Marnas, rendent à Pasolini sa vitale intransigeance et son refus des élitismes, avec sensibilité et générosité. Car si la toile de fond est évidemment faite de la mafia et du Silenzio qui auront la peau de Pier-Paolo, à l’avant-scène surgit toujours la magnifique vigueur d’un auteur et de «son» Ninetto adoré. Le «Sonetto» d’Oliver Night (qui se rebaptise ainsi quand il s’empare de sa guitare), laisse la part belle à la musique avec sur le plateau le guitariste Micky Finn, le batteur Alain Gouillard et le bassiste Denis Chauvet. »
(Denis Bonneville / La Marseillaise)



''Sonetto Per Ninetto'' / La Friche Belle de Mai (Septembre 2007).
« Un hommage vibrant. Ninetto, Paso et moi. La Friche Belle de mai accueillait la première étape publique d'une aide à la maquette du ministère de la culture. Le Collectif Kati Bur mené par Olivier



Maltinti clamait son amour à Pasolini et à son acteur fétiche Ninetto Davoli. Tout commence par la vision de deux corps à terre, ceux d'un homme et d'une femme recroquevillés qui se disputent pour savoir à qui reviendra un troisième corps. On a tout de suite compris que Sonetto per Ninetto se montrera radical de bout en bout. Les sons, les mouvements, la scénographie, les interludes musicaux se mettent au service de la mise en scène pour dresser le portrait d'une époque révolue : L'Italie des années de plomb (70/75). Là où on aurait pu craindre que l'univers rock'n'roll d'Oliver Night soit trop destroy pour traiter du cinéaste Italien. Force est de constater qu'il n'en est rien. Au contraire l'ambiance qui ponctue les tableaux coordonne parfaitement les différents points de vue dramaturgiques : Ceux du présent (Les gens qu'Olivier a interviewé en Italie) et ceux du passé (Pier Paolo et Ninetto). Ce contraste entre passé et présent contribue à l'atmosphère si particulière de cette œuvre. La déclaration d'amour est belle, et Olivier Maltinti, Amélie de Vautibault et les musiciens présents sur scène arrivent à jouer sur leur charisme et leur sincérité pour rendre cet ensemble cohérent. Il en ressort un constat d'impuissance face au destin et d'adieu mais surtout une belle histoire d'amour et d'amitié entre Pier Paolo et Ninetto : L'admirateur se confond au réalisateur qui se confond lui-même à l'acteur. C'est dire toute la complicité qui unit Ninetto, Pasolini et Kati Bur. »

(Cédric Coppola / La Marseillaise)



« Moins dure au soleil comme chaque année ou presque l'équipe de Ventilo se fend d'un petit bilan revenant en toute subjectivité sur les événements culturels marquants de la saison. Les délibérations furent passionnés et les choix ardus par la vitalité de la scène locale : Frank Dimech, Olivier Maltinti, Hubert Colas, Anaïs, Oshen, Nation all Dust, Francesco Finizio et Marc Quer, tout nous porte a croire que la mythique movida Marseillaise des 90s a de jolis restes. Et si on arrêtait de se plaindre pour changer ? Après tout à Marseille, on a le soleil, la plage et Franck Ribéry. Que demande le peuple ? »
(Edito Ventilo. Numéro spécial / Cynthia Cucchi)



Mise en espace – Scénario en cours d'écriture - ''Sans un kopeck'' / Théâtre de La Minoterie (Mai 2005)
« Pour Oliver Night, la musique, la mise en scène sont avant tout des actes éphémères et plastiques. Cette démarche artistique est loin d'être intellectuelle, elle laisse toute sa place à l'imaginaire. Il a gratté les planches du Théâtre de La Minoterie, histoire de faire émerger quelque chose d'inattendu et de vibrant ! Le chantier rock de samedi en témoigne, les spectateurs ont vibrés sur leurs sièges au son des guitares électriques et les mots ont résonné dans leurs têtes comme des coups de marteaux piqueurs jusque tard dans la nuit. »
(Sandrine Oserov Tactic)



Presse / Articles / Acteur 


''Macbeth''. Chapelle de la croix Rousse. Lyon.
« Dès l’instant où il engage sa parole, Olivier Maltinti qui interprète Macbeth disjoncte et crée la rupture. Du paumé initial, assis dans un coin, clope au bec, il devient un assassin hagard, halluciné. Il donne à voir comment le processus d’hypnose a fonctionné dans son personnage. Assis à la fin du spectacle au centre de la scène, il débite violemment son texte, laissant planer au-dessus de lui l’auréole de grâce dont on affuble les tueurs psychopathes. Travaillant sur le porte-à-faux, créant un espace intime avec le spectateur pour mieux le détruire, le comédien est en parfaite sympathie avec les allers-retours de la mise en scène de Olivier Balagna. Du privé au public, de l’individu au groupe, le spectacle très physique résonne comme une prière collective où chacun négocie individuellement son destin avec Dieu. Les adresses au public, volontairement agressives, contrastent avec l’aspect fantomatique du personnage. Le spectateur est constamment sollicité puis abandonné, emporté et rejeté. »
(Marie-Christine Vernay / Libération)



Les sièges de l'Alcazar (Long métrage de Luc Moullet)
« Les sièges de l'Alcazar est une comédie hilarante de Luc Moullet, qui évoque la cinéphilie française des années 50 et plus particulièrement la rivalité entre Les Cahiers du cinéma et Positif. Le protagoniste du film Guy Moscardo, joué à la perfection par Olivier Maltinti, est un critique aux Cahiers qui admire Cottafavi et déteste Antonioni. Son cinéma de quartier favori est l'Alcazar, qui est tenu par un couple de vieux grippe-sous. Un jour, Jeanne, critique à Positif vient à l'Alcazar, au grand dégoût de Guy, elle admire Antonioni et déteste Cottavafi. Un chassé croisé amoureux va se tisser entre Guy, Jeanne et sa meilleure amie (qui aimerait bien aussi mettre Guy dans son lit). Les scènes entre Guy et le couple âgé, gérant le cinéma sont délicieusement comiques. Les sièges de l’alcazar ne se vautre pas dans la nostalgie mais est un trésor de références d‘époque. Un grand film et pas seulement pour les cinéphiles. »
(Revue Camera Obscura)



Presse / Chroniques Musique :



OLIVER NIGHT ''Rubis''.
« Pour son nouvel album, Oliver Night poursuit son bonhomme de chemin dans les méandres de la pop chanté en français. Emmenés par une musique pourtant totalement anglo-saxonne, les textes prennent le dessus, forcement on comprend ce qu‘il chante. Et les paroles de ses chansons ne sont pas sans intérêt, on s‘y laisse prendre, on prête une oreille de plus en plus attentive à l‘univers poétique de l‘auteur. Guitares, basses, batterie sonnent impeccablement, l’harmonica donne un petit ton bluesy, la guitare de Micky Finn aussi. Le violon et la slide eux sonnent plutôt country. Night fait du rock à n’en point douter, il a su éviter les synthés et autre électro qui envahissent nos rondelles musicales » …/…
(Jacques Lerognon / Nouvelle Vague)

OLIVER NIGHT ET LA BAND(E) ''Not in this world''.
« Oliver Night et sa (nombreuse) bande sont de retour avec «Not in this world» une nouvelle production pourtant bien ancrée dans la réalité. On retrouve la voix caractéristique d'Oliver, toujours dans cette même veine du parlé/chanté qui donne un côté "désillusionné", comme pour renforcer des textes pas toujours très gais. Les différents timbres viennent se poser sur une large toile sonore à dominante rock(s), parsemée d'influences diverses et variées à commencer par le blues. La base guitares, basse, batterie est également enrichie d'une pluralité d'instruments en tout genre, de l'oud à l'harmonica en passant par le cor à pistons, le tout bourré de touches électro. Dix-sept membres au total pour une alchimie pourtant rudement efficace, on ne peut plus cohérente, créative, et arrangée avec la manière. » …/…
(M.B / Nouvelle Vague)



OLIVER NIGHT ET LA BAND(E) ''Not in this world''.
« Et voici donc, enfin disponible, la nouvelle livraison du Oliver Night Band(e), rebaptisé pour l'occasion Oliver Night & la Band(e). Successeur de l'expérimental Magnifico (2003), et des envoûtants et très inspirés Aden (2005) et Turkeys on my table (2006), Not in this world s'impose immédiatement comme un grand cru aux climats variés et ambitieux. D'abord, l'objet est beau. Comme souvent, un effort particulier a été apporté à l'artwork. A la première écoute, on comprend qu'un seuil a été franchi au niveau des arrangements comme de la production musicale. A mi-chemin entre rock indépendant, blues et chanson française, ce disque reflète parfaitement les influences d'Oliver Night, artiste complet (auteur, compositeur, chanteur, guitariste, producteur et arrangeur) qui a su puiser dans la musique anglo-saxonne moderne la plus exigeante, les mélodies les plus diverses. De «Le miracle c'est toi» ballade aux accents country, à «Héritage» et sa new wave enfiévrée (probablement le meilleur morceau du disque, avec sa basse à la Joy division, en passant par «T'es qu'une bouche» et ses bruitages électroniques, dans lequel les musiciens règlent son compte au président Bush. Ces douze compositions s'écoutent comme un voyage à travers les différents courants du rock'n'roll. Mais cette hétérogénéité musicale ne doit pas faire oublier des textes intimistes et ciselés. On attend avec impatience le prochain opus de ce prolifique groupe actuellement en période d'enregistrement. » …/…
(Marc Grissonnanche / Radio Zinzine)



OLIVER NIGHT BAND "Magnifico!".
« D’après le nom, on pourrait croire à une formation de jazz classique, mais attention… ! Ce n’est pas ça du tout ! Des membres venant des quatre coins du globes, des origines musicales différentes qui offrent à leur collaboration un exotisme totalement inédits, la band(e) à Oliver Night n’est pas classique, loin de là. Des riffs de guitares venant des profondeurs du blues de Robert Johnson ou encore des samples electro digne de Tarwater, une musique hors du commun que l’on ne trouve pas n’importe où. À l’intérieur de tout cela, on ressent la chaleur du soleil phocéen d’où nous provient cet album, et son lyrisme dans les textes. Un bon moment de musique qui rend parfois joyeux, parfois nostalgique mais jamais indifférent. » …/…
(Guillaume Martel / Longueur d'ondes)




Soutiens :



« Depuis plusieurs saisons,je suis attentivement le travail artistique d'Olivier Maltinti (Oliver Night), j'ai été particulièrement séduit par sa capacité à interroger le monde d'aujourd'hui à travers la musique,l'écriture, le jeu théâtral ( des pratiques artistiques aussi variées que parfaitement maîtrisées), il construit son chemin singulier, dans le paysage culturel de la Ville de Marseille, je pense que la richesse et la diversité de son regard et de son travail artistique méritent d'être soutenues pour les années à venir. »
Jean Marc Diébold (Théâtre Le Merlan Scène Nationale de Marseille)



« Cela fait maintenant plusieurs années que nous suivons et soutenons le travail d'Olivier tant en musique qu'en théâtre et nous pouvons en attester toute la qualité et l'originalité. »
Alain Fourneau (Directeur du Théâtre Les Bernardines Marseille)



« Cher Oliver, c'est formidable, ce ''Turkeys on my table'' est complètement original, complètement toi et en même temps cela m'a complètement surpris dans le sens où j'ai découvert des zones de toi que je ne connaissais et qui m'ont complètement surpris, j'écoute certaines chansons en boucle, surtout celle où tu parles de l'Afrique (enfin je suppose), j'aime énormément la reprise, elle est vraiment très, très belle, c'est encourageant et je suis curieux d'entendre la suite. »
Matthew Jocelyn (Directeur des Ateliers du Rhin Centre dramatique Régional d'Alsace)



« Olivier ce petit mot pour te redire le plaisir que nous avons eu à t'accueillir à Montevideo et encore bravo pour la qualité de ton travail, tiens nous au courant de tes projets. »
Hubert Colas (Montevideo Centre de Création Marseille)



« Merci beaucoup pour ''Aden'' qui m'a bien accroché et beaucoup plus. Il y a là une exigence musicale d'une musique dialoguant avec les mots allant au delà d'un simple accompagnement, tu dois sortir de Marseille mais il te faut avant conquérir son million d'habitants. Il faut de la santé et de la bonne humeur que tu sembles partager. »
Alain Lievaux (Centre Régional du Livre Région Centre.)



« Une des principales motivations qui nous fait suivre et soutenir le travail d’Olivier Maltinti, c’est que sa présence dans tous les projets qu’il partage est étonnante de densité, il est là ou il est, quoi qu'il fasse. Et des choses il en fait, du cinéma à la musique, en passant par la danse et le théâtre. Toujours un même fil semble le guider. Ainsi mêlant la musique et le théâtre. Olivier Maltinti inscrit ses créations dans une logique de recherche entamée depuis 1998. »
Suzanne Joubert (Auteur et Associée à la Direction du Théâtre des Bernardines Marseille)